Netflix s’engage à offrir 1 million de dollars de bourses pour le cinéma et la télévision en Afrique Subsaharienne

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Netflix s’engage davantage en Afrique subsaharienne. Le géant mondial du streaming a décidé d’investir 1 million de dollar dans la création à travers des bourses pour des étudiants de la cinématographie et de la télévision.

Ce programme de bourses d’étude fait partie du Netflix Creative Equity Fund lancé en 2021 qui est inclut dans le Netflix Creative Equity Scholarship Fund.

La bourse couvrira tous les frais de scolarité, l’hébergement, le matériel académique et les autres dépenses.
Les candidatures sont ouvertes et concernent les pays suivants : l’Angola, le Botswana, les Comores, la République Démocratique du Congo, l’Eswatini, le Lesotho, Madagascar, le Malawi, Les Îles Maurice, le Mozambique, la Namibie, les Seychelles, l’Afrique du Sud, la Tanzanie, la Zambie et leZimbabwe.

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Pour l’année académique 2022, les écoles suivantes sont éligibles :

  • AACA Film and Acting School
  • AFDA
  • Boston Media House
  • Cape Peninsula University of Technology
  • City Varsity
  • Durban University of Technology
  • Tshwane University of Technology
  • University of Cape Town
  • University of Johannesburg
  • University of KwaZulu-Natal
  • University of Pretoria (UP)
  • University of the Witwatersrand (Wits)

D’autres partenaires pour l’Afrique de l’Est et l’Afrique de l’Ouest seront annoncés.

Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 4 février 2022 et vous pouvez postuler ici.

Pour Ben Amadasun, Directeur du Contenu Netflix en Afrique, « Netflix est tout excité par le potentiel de la prochaine génération de storytellers et nous sommes engagés à investir dans l’avenir du storytelling africain sur le long terme ». Il poursuit en disant « Nous sommes convaincus qu’il y a de belles histoires à raconter provenant de l’Afrique et nous comptons jouer notre part en soutenant les étudiants passionnés par l’industrie de la cinématographie et de la télévision de sorte qu’ils puissent également contribuer significativement à l’écosystème de la création en apportant plus de voix uniques et des perspectives diverses pour le storytelling africain qui peut intéresser nos audiences globales ».

La Rédaction