Affaire “Baltasar” : les autorités équato-guinéennes interdisent les partages des vidoés sur WhatsApp et prévoit installer des caméras de surveillance dans les bureaux de l’Administration publique

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La Guinée-Équatoriale a récemment le téléchargement et le partages des vidéos sur WhatsApp afin de contenir le scandale qui a secoué le pays qu’on appelle courament l’affaire Baltasar. Le scandale implique des vidéos explicites mettant en scène Baltasar Ebang Engonga, le chef de l’Agence nationale d’investigation financière, qui serait impliqué avec les conjoints et les proches de hauts fonctionnaires. Avec plus de 400 enregistrements qui se propagent rapidement sur les réseaux sociaux, le gouvernement prend des mesures urgentes.

Les opérateurs telco doivent limiter la diffusion des vidéos

Le vice-président Teodoro Nguema Obiang Mangue, fils du président, a ordonné aux opérateurs de télécommunications de limiter la diffusion de ces vidéos, soulignant l’engagement du gouvernement à prévenir « la destruction des familles ». De plus, les autorités sévissent contre l’utilisation abusive des espaces gouvernementaux par les fonctionnaires et installent des caméras de surveillance dans les ministères pour dissuader des incidents similaires.

Le scandale est parti d’une arrestation pour détournement de fonds publics

Engonga est actuellement en détention pour détournement de fonds, et les autorités sanitaires envisagent des accusations d’atteinte à la santé publique en attendant les résultats des tests de dépistage des infections sexuellement transmissibles ; dont le SIDA. Malgré ces efforts, des rumeurs suggèrent la possibilité d’encore plus d’enregistrements émergents, gardant le public sur les nerfs alors que le gouvernement poursuit ses efforts de contrôle des dégâts.

La Rédaction 

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