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Comment avez-vous trouvé l’organisation ?
Ma première impression par rapport à cette semaine du numérique, c’est que c’est positif, je vois qu’il y a beaucoup d’évolution, y a beaucoup de technologies qui sont présentées ici qui peuvent vraiment contribuer au développement économique du Burkina. Donc c’est tout simplement féliciter les organisateurs qui n’ont ménagé aucun effort pour que cette édition soit une belle réussite.
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Quels sont les obstacles que vous rencontrez dans le domaine du numérique au Burkina Faso ?
Sur les obstacles sur la question du numérique que nous pouvons rencontrer je peux citer les lacunes de la loi sur la réglementation sur des start-up au Burkina. L’absence de réglementation spécifique pour les start-up rend difficile la création et le développement de ces entreprises, notamment en termes de financement, de protection des droits de propriété intellectuelle et de responsabilité juridique.
Toutefois le Burkina Faso n’est pas à la traîne des évolutions technologiques au niveau africain et mondial.
Pierre Ouédraogo
